Chevron en Equateur La société accusée est l'entreprise américaine Chevron (anciennement Texaco), pour les dommages résultants des activités d'extraction qui ont eu lieu depuis 1964 dans plus de 1,5 millions d'hectares de l'Amazone équatorienne. Témoignage : Pablo Fajardo et Oscar Herrera (Unión de Afectados por Chevron-Texaco - UDAPT) |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  |  | Lettre ouverte aux citoyens | Introduction
TPP
| Temoignage Oscar Herrera | Temoignage Pablo Fajardo
| Interrogation Chevron en Equateur
| Aguinda contre Chevron | Tribes against Chevron | Equateur - le prix de l'or noir (2004) | Serpents d'Acier | Water or gold | |  |  |  | Résumé : L'entreprise a déversé plus de 60 millions de litres de déchets toxiques et environ 650'000 tonneaux d'huile dans la région. La réparation, imposée par le gouvernement équatorien, a été mal réalisée, et n'a eu jusqu'à aujourd'hui aucun effet pour pallier aux dommages et effets négatifs, qui continuent encore d'affecter la région. On y enregistre des taux de cancers extraordinairement élevés, et les peuples autochtones, y compris les Tetetes et les Sansahuari qui vivaient précédemment dans la région se sont éteints, tandis que les Cofanes, Sionas et Siekopai, qui ont fui dans d'autres régions, courent le même risque. De plus, les terres des paysans locaux sont devenues infertiles et ceux-ci ont perdu leurs troupeaux, qui sont en train de mourir ou déjà morts à cause de la contamination. En 2013, la Cours Suprême de la République d'Équateur a condamné Chevron à payer 9500 millions de dollars de dommages et intérêts, reconnaissant que les activités de l'entreprise violent la Déclaration Universelle des Droits de l'homme, la Convention Internationale des Droits civils et politiques, la Convention des Droits économiques, sociaux et culturels, ainsi que la Constitution de la République d'Équateur (qui a été la première à reconnaître les droits à la nature). Voir documentation Journée de solidarité Amazonía - Drôme/Ardèche à Dieulefit 02 fév. 2014 Voir chanson du groupe italien 'La Mescla' dédié à la lutte des peuples indigènes en Amazonie équatorienne... | | Session du Tribunal permanent des peuples sur les Violations des Droits Humains commises par le Transnationales, Genève 23 juin 2014 | | | | | | | | | | | | | Chevron en Equateur | Shell au Nigeria | Glencore aux Philippines | Glencore en Zambie | Glencore en République Démocratique du Congo | Lonmin en Afrique du Sud | Glencore au Pérou | Glencore en Colombie | Pacific Rim El Salvador | Mekorot en Palestine | Coca-Cola en Colombie | Hidralia Energía au Guatemala |
| | Lors de l'audience du Tribunal Permanent des Peuples (TPP) à Genève le 23 Juin, l'on a présenté des cas violations des droits de l'homme par les sociétés transnationales. Cette audience d'une journée a été préparée par la Campagne Mondiale pour Démanteler le Pouvoir des Multinationales et mettre fin a leur impunité, en coordination avec des mouvements et organisations suisses, et les communautés affectées dans les différentes régions du monde. Le TPP est un Cour d'opinion, qui s'inscrit dans la tradition des Tribunaux Russell sur la guerre du Vietnam et les dictatures en Amérique latine, établis en 1979 dans le cadre de la Déclaration Universelle des Droits des Peuples d'Alger. Le TPP a déjà réalisé prés de 40 séances sur les violations systématiques des droits de l'homme et les droits des peuples, y compris une session sur la Banque mondiale, les transnationales européennes en Amérique latine et Bhopal. Il s'agit d'une rares institutions internationales dans lesquelles les communautés affectées peuvent soumettre directement leurs cas de violations des droits humains commises par les sociétés. Voir http://www.internazionaleleliobasso.it Certains des cas entendus sont : Chevron dans l'Amazonie équatorienne; Shell au Nigeria, Glencore dans plusieurs pays (tels que les Philippines, la Zambie, la République démocratique du Congo, le Pérou et la Colombie); Pacific Rim à El Salvador ; Lonmin en Afrique du Sud ; Coca-Cola en Colombie ; Mekorot en Palestine ; et Hidralia au Guatemala. Le jury a été présidé par Juan Hernandez Zubizarreta (Pays Basque) et composé de Beverley Keene (Argentine) Francesco Martone (Italie), Renata Reis (Brésil), Roberto Schiattarella (Italie). |
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